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Quand le jeune peintre Hippolyte Schinner tombe accidentellement dans son atelier, il est secouru par ses deux voisines habitant à l’étage en-dessous, la baronne de Rouville et sa fille, Adélaïde. Schinner devient, grâce au portrait de feu le baron de Rouville qu’il offre aux deux femmes, un habitué de ce petit appartement qui cache soigneusement sa misère. Un jour, Schinner se rend compte que sa bourse, qui contenait quelque argent, a disparu.


Bibliographie sélective

  • Olivier Bonard, La Peinture dans la création balzacienne. Invention et vision picturales de La Maison du chat-qui-pelote au Père Goriot, Genève, Droz, 1969.

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Crédits

Mame

  • Éditeur : Andrea Del Lungo
  • Établissement du texte : Matteo Zibardi
  • Édition XML-TEI : Matteo Zibardi
  • Informatique éditoriale : Frédéric Glorieux, Karolina Suchecka
  • Images : Gallica – Bibliothèque nationale de France

Béchet

  • Éditeur : Andrea Del Lungo
  • Établissement du texte : Matteo Zibardi
  • Édition XML-TEI : Matteo Zibardi
  • Informatique éditoriale : Frédéric Glorieux, Karolina Suchecka
  • Images : Gallica – Bibliothèque nationale de France

Charpentier

  • Éditeur : Andrea Del Lungo
  • Établissement du texte : Matteo Zibardi
  • Édition XML-TEI : Matteo Zibardi
  • Informatique éditoriale : Frédéric Glorieux, Karolina Suchecka
  • Images : Gallica – Bibliothèque nationale de France

Furne

  • Éditeur : Maxime Perret
  • Établissement du texte : Maxime Perret
  • Édition XML-TEI : Karolina Suchecka
  • Informatique éditoriale : Frédéric Glorieux, Karolina Suchecka
  • Images : Gallica – Bibliothèque nationale de France

Furne corrigé

  • Éditeur : Maxime Perret
  • Correction OCR : Dimitri Julien
  • Établissement du texte et stylage TEI : Maxime Perret
  • Édition XML-TEI : Amélie Canu
  • Informatique éditoriale : Frédéric Glorieux
  • Traitement des images : Claire Carpentier