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Dans un village de Norvège, à la fin de l’hiver. Minna Becker, la fille du pasteur, aime Séraphîtüs, un beau jeune homme qui la conduit au sommet du Falberg mais qui refuse son amour. Wilfried, le fiancé de Minna, tombe sous le charme de Séraphîta, jeune femme à la beauté incomparable qui le repousse. Dans ce roman à la fois spiritualiste, fantastique et mystique, Balzac associe le mythe de l’androgyne à la doctrine de Swedenborg.

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Éditions contrôlées par Balzac

Revue de Paris
Séraphîta, parution des quatre premiers chapitres dans la Revue de Paris des 1er juin et 19 juillet 1834.

Werdet I
Séraphîta, dans Le Livre mystique, Paris, Werdet, 2 décembre 1835, t. II (in extenso).

Werdet II
Séraphîta, dans Le Livre mystique, Paris, Werdet, 15 janvier 1836, t. II (in extenso).

Werdet III
Séraphîta, Paris, Werdet, 1839. Un vol. in-8º.
Le texte est publié seul, avec la préface du Livre mystique.

Souverain
Séraphîta, dans Le Livre des douleurs, Paris, Souverain, 1840, t. IV et t. V (in extenso).

Charpentier
Louis Lambert, suivi de Séraphîta, Paris, Charpentier, 1842. Un vol. in-12.

Furne
Séraphîta, dans La Comédie humaine, Paris, Furne, 1846, t. XVI, Études philosophiques, p. 208-333. (Lire)

Furne corrigé
Séraphîta, dans La Comédie humaine, Études philosophiques. (Lire)

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