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Le colonel Chabert est censé être mort à Eylau. Un jour, il réapparaît à Paris et sollicite une entrevue avec l’avoué Derville. L’ancien colonel de la Grande Armée espère que l’avoué saura régler son litige avec son épouse qui, en son absence et l’ayant cru mort, s’est remariée avec le comte Ferraud, laissant Chabert sans ressources.

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Éditions contrôlées par Balzac

L’Artiste
La Transaction, feuilleton paru dans L’Artiste, les 19 et 26 février, 4 et 11 mars 1832.

Béchet
La Comtesse à deux maris, dans Études de mœurs au xixe siècle, Paris, Vve Béchet, 1835, t. XII, Scènes de la vie parisienne, p. 253-390.

Charpentier
La Comtesse à deux maris, dans Scènes de la vie parisienne, Paris, Charpentier, 1839, t. I, p. 1-98.

Furne
Le Colonel Chabert, dans La Comédie humaine, Paris, Furne, 1844, t. X, Études de mœurs, Scènes de la vie parisienne, p. 1-60. (Lire)

Furne corrigé
Le Colonel Chabert, dans La Comédie humaine, Études de mœurs, Scènes de la vie privée. (Lire)

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