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Pons et Schmucke, deux musiciens, habitent ensemble dans le quartier du Marais. Leur ménage est administré par madame Cibot, la portière de leur immeuble. Or, si Pons est le parent pauvre des Camusot, il a la passion du bric-à-brac et possède de magnifiques pièces qui attisent bientôt la convoitise de l’infâme Cibot et de ses acolytes : Rémonencq, Magus, le docteur Poulain, l’avocat Fraisier. Si l’héritage est sauvé d’un détournement au profit des Camusot, il laisse le bon Schmucke sans ressources et accablé du chagrin d’avoir perdu un ami véritable.

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Éditions contrôlées par Balzac

Constitutionnel
Le Cousin Pons, feuilleton paru dans Le Constitutionnel du 18 mars au 10 mai 1847 (interruptions les 22, 23, 27, 28, 29 et 30 mars, puis les 5, 6, 12-21, 26 et 27 avril, et les 2, 3 et 4 mai). (Lire)

Pétion
Le Cousin Pons, dans Les Parents pauvres, Paris, Pétion, 1848 (en réalité 1847), t. VII (p. 177 et suiv.) – t. XII. (Lire)

Siècle
Le Cousin Pons, dans Les Parents pauvres – deuxième épisode (Deuxième partie : Les deux musiciens), paru dans le Musée littéraire du Siècle, du 7 septembre au 1er novembre 1847. (Lire)

Furne
Le Cousin Pons
, dans La Comédie humaine, Paris, Furne, 1848, t. XVII, Études de mœurs, Scènes de la vie parisienne, Les Parents pauvres, p. 380-650. (Lire)

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Bibliographie sélective

  • Anne-Marie Baron, « Origine et avenir d’un rôle balzacien : l’employé aux morts », L’Année balzacienne, 1978, p. 63-74.
  • Joëlle Gleize, « Balzac et la totalisation des intelligences », L’Année balzacienne, 2010, p. 97-112.
  • Max Milner, « La concierge et l’agonisant : coordonnées balzaciennes », Revue des lettres modernes, 409-412, 1975, p. 51-62.
  • Albert Prioult, « Les Auvergnats dans La Comédie humaine », L’Année balzacienne, 1970, p. 317-345.
  • Franc Schuerewegen, « Muséum ou Croutéum ? Pons, Bouvard, Pécuchet et la collection », Romantisme, 55-1, 1987, p. 41-54.
  • Florence Terrasse-Riou, « La transmission des héritages dans Le Cousin Pons, L’Interdiction et La Cousine Bette : les dettes reparaissantes », dans N. Mozet et P. Petitier (éd.), Balzac dans l’Histoire, Paris, SEDES, 2001, p. 237-250.
  • André Vanoncini, « La dialectique du beau et du faux dans Le Cousin Pons », L’Année balzacienne, 2011, p. 293-306.

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Crédits

Furne corrigé

  • Éditeur : Maxime Perret
  • Établissement du texte et stylage TEI : Maxime Perret
  • Édition XML-TEI : Amélie Canu
  • Informatique éditoriale : Frédéric Glorieux
  • Traitement des images : Claire Carpentier

Siècle

  • Éditeur : Andrea Del Lungo
  • Établissement du texte : Karolina Suchecka
  • Édition XML-TEI : Karolina Suchecka
  • Informatique éditoriale : Frédéric Glorieux, Karolina Suchecka
  • Images : Internet Archive, University of Ottawa

Pétion

  • Éditeur : Andrea Del Lungo
  • Établissement du texte : Alessia Testa, Karolina Suchecka
  • Édition XML-TEI : Karolina Suchecka
  • Informatique éditoriale : Frédéric Glorieux, Karolina Suchecka
  • Traitement des images : Armelle Isnard

Constitutionnel

  • Éditeur : Andrea Del Lungo
  • Établissement du texte :  Karolina Suchecka
  • Édition XML-TEI : Karolina Suchecka
  • Informatique éditoriale : Frédéric Glorieux, Karolina Suchecka
  • Traitement des images : Armelle Isnard