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Sous le règne d’Henri IV, le duc d’Hérouville, homme d’épée grossier et violent, accuse sa femme de l’avoir trompé. Il considère à tort que son premier fils, Étienne, n’est pas de lui, et il jure la mort de cet enfant prématuré qui ne doit la vie qu’à un sombre calcul d’héritage. Le duc lui préfère son second fils, Maximilien, qui lui ressemble au physique et au moral. Mais quand Maximilien meurt dans un duel, le duc est forcé d’accepter Étienne comme héritier pour perpétuer sa lignée.

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Éditions contrôlées par Balzac

Éditions partielles du texte

Revue des deux mondes
L’Enfant maudit, publié dans la Revue des deux mondes, janvier 1831, p. 131-184.

Gosselin I
L’Enfant maudit, dans Romans et contes philosophiques, Paris, Gosselin, septembre 1831, t. III, p. 1-96.

Gosselin II
L’Enfant maudit, dans Contes philosophiques, Paris, Gosselin, juin 1832, t. I, p. 229-359.

Gosselin III
L’Enfant maudit, dans Romans et contes philosophiques, Paris, Gosselin, février 1833, t. III, p. 229-359.

Chronique de Paris
La Perle brisée, paru dans la Chronique de Paris, les 9 octobre (p. 265-270) et 16 octobre 1836 (p. 282-288).

Éditions complètes du texte

Werdet
L’Enfant maudit, dans Études philosophiques, Paris, Werdet, 1836, t. XV (in extenso) et t. XVI (p. 5-159).

Furne
L’Enfant maudit, dans La Comédie humaine, Paris, Furne, 1846, t. XV, Études philosophiques, p. 129-219. (Lire)

Roux et Cassanet
La Femme de soixante ans, suivi de L’Enfant maudit, Paris, Roux et Cassanet, 1847, t. II, p. 177-331 et t. III, p. 1-165.

Furne corrigé
L’Enfant maudit, dans La Comédie humaine, Études philosophiques. (Identique à l’édition Furne)

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